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Karaoké L'un d'entre eux inventa la mort - Gilbert Bécaud

Cet enregistrement est une reprise de L'un d'entre eux inventa la mort rendu célèbre par Gilbert Bécaud

Formats inclus :

CDG (MP3+G)
MP4
KFN
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À propos

Avec choeurs (au choix dans la version KFN)

Tempo : variable (environ 107 BPM)

Tonalité identique à l'original : Mim

Durée : 06:00 - Extrait à : 01:35

Date de sortie : 1969
Styles : Variété française, En français
Auteur : Pierre Delanoë
Compositeur : Gilbert Bécaud

Tout le contenu de notre site web est entièrement reproduit par nos musiciens en studio. Nous n'utilisons aucune partie des enregistrements originaux et ne faisons en aucun cas usage de la technologie de séparation de pistes par IA.

Paroles L'un d'entre eux inventa la mort

Il y a des millions d'années il y a des millions d'années
Quand le diable n'était pas né
Quand le diable n'était pas né
Tous les hommes étaient immortels
Mais l'un d'entre eux qui était plus fort
L'un d'entre eux inventa la mort
Ce fut une révolution jusque-là les filles étaient belles
On ne se battait pas pour elles on ne se battait pas pour elles
Jusque-là les hommes étaient forts
Mais l'un d'entre eux qui était plus fort
L'un d'entre eux inventa la mort
Et l'on vit les cheveux blanchir et l'on vit les dos se courber
Et l'on vit la vie s'envoler et l'on vit la vie s'envoler
Des coeurs des âmes et des corps
Car l'un d'entre eux qui était plus fort
L'un d'entre eux inventa la mort
Alors lui petit malin devint le Dieu le souverain il régnait comme un vrai tyran
Sur la pluie et sur le beau temps
Sur la pluie sur le vent du Nord
Il avait inventé la mort
Il avait inventé l'enfer les voleurs les assassins la pneumonie et le cancer
La guerre et les conquistadors il était vraiment le plus fort il avait inventé la mort
Il restait quand même l'amour pour les hommes c'était l'opium
Ils s'aimaient tant qu'ils le pouvaient
Ils s'aimaient tant qu'ils le pouvaient
Puis un jour ils se détestaient et l'amour devenait la mort et l'amour devenait la mort
Ils mouraient de n'importe quoi de misère d'un bobo au doigt
En marchant volant ou nageant en marchant volant ou nageant
Dans un lit dans un guet-apens ils étaient condamnés à mort
Pour se concilier les faveurs de l'impitoyable Seigneur on brûla quelques inventeurs
Des poètes et que sais-je encore ?
Mais la mort demeurait la mort ouais
Mais la mort demeurait la mort
De l'encens des cierges et des fleurs
Pour faire plaisir à leur Seigneur
Des Credo des confiteor des Pater et que
Sais-je encore ? mais la mort demeurait la mort
Alors les hommes se sont dit que peut-on attendre de lui ?
Il faudra travailler longtemps
Peut-être pendant cent mille ans ?
Peut-être plus longtemps encore ?
Alors les hommes ont pris un coeur qui ne battait plus
Et puis lui ont redonné la vie que l'on croyait perdue
Les hommes ont visité les planètes une à une
D'abord la vieille Lune et Mars et Jupiter et Neptune
Les hommes se sont envolés droit vers les étoiles
Et puis sont revenus tout raconter dans leurs cathédrales
Les hommes après avoir longtemps longtemps cherché
Enfin ont découvert le secret de l'immortalité
Fous de joie d'avoir découvert le grand secret de l'univers
Ils ont mis leurs plus beaux habits
Et sont partis vers celui qui leur avait inventé la mort
Ils avaient vraiment bonne mine
Là-haut dans leurs super machines
Mais en arrivant au palais mais en arrivant au palais
Ils avaient les mains qui tremblaient
Et le coeur qui battait très fort et le coeur qui battait très fort
Une grande porte s'ouvrit et puis d'autres à l'infini ils suivirent de longs couloirs
Un huissier en costume noir leur dit messieurs
Vous venez tard vous venez tard
Depuis ce matin à l'aurore depuis ce matin à l'aurore
Dieu est mort
Dieu est mort

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